Résumé
Il y aurait peut-être un certain intérêt à envisager des liens concrets avec des institutions ailleurs qu'en France
Un lien international n'a pas toujours d'effet concret sur les activités que l'on mène. Cependant, cela peut en avoir ; et cela donne plus de crédibilité à un projet. Cela peut aussi rapporter (d'importantes voire énormes) subventions. Les projets européens ont la particularité d'être hyper lourds à mettre en place. Mais peut-être que cela vaut le coup.
Nous avons ici dans les Hautes-Pyrénées une équipe spécialisée dans les projets européens type Interreg. On peut envisager un partenariat officiel entre nous et l'institut Polytechnique pour développer un tel projet. L'interreg n'est pas forcément la meilleure solution, mais il y en a d'autres.
Trouver des idées sur le site suivant, qui n'a rien à voir, mais peut donner à réfléchir
Ce qui serait intéressant, voire détemrinant, serait simplement d'avoir un contact avec un prof de maths qu'on connaît bien, dans une université européenne, et qui soit prêt à engager son institution dans un projet technocrate. L'équipe des Hautes-Pyrénées fera le reste. JackPot en vue, capitaine.
Il y a ce genre d'institution : cbcmed.
Mais cela ne marche qu'avec certaines régions françaises. Il faudrait donc une université dans le sud-est qui porte un projet, et Polytechnique serait juste un prestataire, payé pour développer le logiciel du projet (TeXmacs). Là aussi, un contact avec un partenaire dans un pays de cette zone géographique peut permettre de démarrer quelque chose.
On dit que l'Inde par exemple est très active au niveau informatique, et au niveau enseignement ; ainsi qu'au niveau de l'aide envers les pays émergents comme ceux du continent africain. TeXmacs étant l'outil idéal pour les maths et l'édition scientifique, et les pays non français ayant peut-être parfois un esprit neuf et plus ouvert que les vieux croûtons institutionnels du vieux continent, il y a peut-être là une piste à explorer.
Pour cela, toujours la même histoire, il faudrait avoir déjà quelques contacts personnels en Inde. J'essaie d'ouvrir des pistes par des contacts que j'ai mais c'est pas gagné.
Dans projet international, malheureusement, il y a projet : il faut inventer un projet. Développer TeXmacs est un projet honorable mais moins apte à convaincre des institutions fortunées, que contribuer à la diffusion du savoir scientifique grâce au logiciel TeXmacs par exemple. On peut aussi associer TeXmacs à d'autres programmes : il y a par exemple des associations GeoGebra jusque dans les tréfonds du Niger… Bravo Markus.
Il faudrait savoir qui, dans l'équipe, a des liens avec des institutions (privées ou publiques) ou des mathématiciens en dehors de l'hexagone.
Il faudrait imaginer un projet de développement scientifique utilisant TeXmacs pas comme une fin mais comme un moyen. Il faudrait trouver des idées.